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Assurance vie : Et si vous profitiez de l’embellie boursière ?

Depuis des décennies, l’assurance-vie draine la majeure partie de l’épargne des Français. Mais cette épargne investie en grande partie (80 %) sur des fonds en euros l’est bien souvent durant toute la vie du contrat.

Certes, à l’époque de la splendeur des placements obligataires qui permettaient aux assureurs de distribuer des rendements satisfaisants, cela suffisait à la plupart des épargnants, d’autant que « l’effet de cliquet » et la magie des intérêts composés venaient grossir le bas de laine du souscripteur sans qu’il ait à ne s’occuper de rien.

Mais aujourd’hui, la baisse des taux d’intérêt a entraîné la chute du rendement des obligations et le taux de revalorisation des contrats peine à combattre l’inflation (surtout après déduction des prélèvements sociaux à 15,5 %)…

En moyenne, le rendement des fonds en euros tourne aux alentours de 1,80 % pour 2016. Mais si les meilleurs flirtent avec les 3 %, les moins bons contrats sont parfois en dessous de 1,50 % ; la situation ne devant pas s’améliorer pour 2017...

Mais cet état de fait n’est pas une fatalité.

Aujourd’hui, les assureurs proposent des contrats de plus en plus sophistiqués qui permettent à l’épargnant moyen de sortir de cet engrenage en prenant un minimum de risque.

Et la configuration économique actuelle est plutôt favorable à la bourse qui est bien orientée depuis déjà quelques mois.
Pourquoi dans ces conditions ne pas en profiter ?

 

 

La solution : introduire un minimum de risque dans votre contrat :

Booster le rendement de votre contrat, c’est chose possible.
Comment ? D’abord transformer votre contrat « mono support » (fonds en euros) en contrat « multi support » (ce type de contrat comporte 1 premier compartiment investi sur un ou des fonds en euros et un second compartiment investi sur divers supports, les « unités de compte », dont la nature varie en fonction de votre choix : OPCVM, FCP, SICAV, actions, SCPI, etc. Ces fonds diversifiés (actions, obligations, produits monétaires, etc.) profiteront du retour à la croissance qui s’annonce.

- Faites un arbitrage en introduisant 15 à 20 % de fonds actions et si vous ne connaissez rien à la bourse, demandez à votre assureur à opter pour une gestion de votre épargne par un professionnel.

- Si vous n’avez pas encore de contrat d’assurance vie, tournez-vous vers les offres d’Internet. Vous y trouverez des contrats performants, sans frais d’entrée et avec des frais de gestion réduits.

 

Les conditions d’un investissement gagnant

Rappelons que contrairement aux fonds en euros dont la valeur est garantie, la valeur des unités de compte est soumise à des variations et fluctue en fonction des marchés boursiers.

Seul le nombre d’unités souscrites est garanti, mais en aucun cas la valeur d’achat.

C’est pourquoi, investir sur des unités de compte impose quelques impératifs.

 

Bien définir votre profil d’investisseur

Votre profil d’investisseur dépend non seulement de votre degré d’acceptation du risque, de votre psychologie, mais également de votre âge et de la durée envisagée pour le placement.

Plus vous êtes jeune et plus vous pouvez vous permettre de prendre de risque (la durée travaillant pour vous dans ce type de stratégie).
Un investissement à horizon 10 ou 15 ans avec une prise de risque limitée à 15 ou 20 % des avoirs est sécurisé et le risque de perdre de l’argent est nul.

A l’inverse, à l’approche de la retraite, un investisseur devra réduire sa prise de risque et sécuriser tout ou partie de ses gains et son capital sur le fonds en euros.

 

Ne pas avoir besoin de l’argent investi

Investir de l’argent dont on peut avoir besoin dans un délai court est dangereux. En effet, en cas de baisse du cours, la revente pour récupérer des liquidités entraînerait immanquablement une perte plus ou moins importante. Pour éviter cela, il est prudent de n’investir que des fonds dont on ne risque pas d’avoir besoin avant 5 ans. C’est le délai raisonnable permettant une remontée des cours en cas de baisse de la bourse.

Souvenez-vous d’une des règles en bourse : tant que l’on n’a pas vendu, on n’a pas perdu.

 

« Lisser » ses investissements sur la durée

En effet, investir son capital en plusieurs fois sur une même valeur permet d’être sûr de ne pas avoir acheté celle-ci au cours le plus haut.

 

Pour plus d’informations: https://www.cieleden.com/